Samedi 4 mai OUPS ! Merci aux gentils Internautes

Samedi 4 mai

OUPS !  Merci aux gentils Internautes qui me font l’honneur de me lire. Sincèrement, merci. Y compris pour rectifier mes erreurs, la dernière étant d’avoir cité Nicoletta :

« c’est Esther Galil qui chante le jour se lève ».  Alors, Nicoletta chante son contraire : « Il est mort le soleil quand tu m’as quitté, il est mort l’été » ?

 « Ne me quitte pas », chantait Jacques Brel.

Pourquoi cet enchaînement de mots pour cacher les maux ?

 Impensable aventure, douce, merveilleuse, mais comme tout ce qui touche aux sentiments lorsqu’ils sont authentiques, paradoxalement évènement triste comme un amour qui naît et se meurt aussitôt.

 Que suis-je venu faire dans cette vie de galère, où tel un écorché vif en carence affective, je m’attache à en souffrir avec la culpabilité de faire souffrir en retour.

 Je voulais égoïstement rester dans ce rêve évoqué hier. Dans cette situation virtuelle qu’offrent les réseaux sociaux par ses rencontres éphémères puisqu’elles ne se prolongent rarement dans le réel lorsque la rencontre devient physique.

 Redescendre sur terre, être « raisonnable » et mature ? Quitter son nid douillet, son petit nuage cotonneux si bon, si chaud, qui supposait « être et exister », peut-être même être « aimé ». Cet imaginaire m’allait bien, me produisait grand bien.

Dure, difficile, sera la chute, ma chute !