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La vie est galère

7 avril 2017

1299

1299...lectures...je ne pensais pas connaître les 1300. Et pourtant je suis là !  Merci

 

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26 octobre 2015

Savoir se taire

Si je n'en ai pas fini avec ce "mal-à-dit", il m'apparaît que poursuivre sur ce thème relève davantage de l'égocentrisme et de l'étalage de la douleur vous indisposant, alors que d'autres soufrances dans ce monde en folie sont passées sous silence ou banalisées.

Je reviendrai peut-être ultérieurement

Prenez soin de vous

 

Le Galérien

 

28 septembre 2015

A bientôt

Bon, c’est l’heure : bon vent sailor, tu en as vu bien d’autres

Etrange néanmoins ce sentiment qui pourrait ressembler à de la frustration.

Pour une fois, je vais être livré aux choix du chirurgien qui décidera de mon corps, de moi, de mon devenir peut-être, sans que je puisse donner mon avis sous anesthésie :

-“On ouvre, on prélève, on analyse et on enlève tout ce qui peut dégénérer “

Dépossédé de mon libre arbitre, de mes choix, pas toujours heureux mais que j’assume sans état d’âme

Je deviens une chose, un objet, un sujet à traiter parmi tabt d'autres

Un coup de blues me fait réceptif au refrain  de la chanson de Calogéro :

“Toi mon frère dis moi pourquoi
La vie continue sans moi
Dis moi pourquoi j'étais là
Un jour au mauvais endroit
Les cafés, les cinémas
Je n'y retournerai pas
Ma vie s'est arrêtée là
Un Jour au mauvais endroit“   

Bon, il est temps de faire retour à l’acceptation. C’est ainsi. J'ai mille choses à exprimer...mais à quoi bon. Ce qui est inéluctable..."Pour ce qui en vaut la peine bats-toi; sinon lâche prise" pour plagier Hans SELYE

Quelle galère encore quand même !

A bientôt, et, courage à tous ceux, toutes celles, qui sont sur le même bateau: je pense à vous

 

Le Galérien

17 septembre 2015

La vie ? Une loterie

Nous ne demandons pas à intégrer ce monde en folie. Nos géniteurs décident plus ou moins pour nous. Ils choisissent (?)  un prénom, celui qui leur plaît, pas vraiment par choix (mode ; projections ; compensations…)

Et ils poursuivent leur vie. Bien qu’ils fassent plus ou moins leur maximum pour nous, le facteur chance, le destin pour d’aucuns, s’occupe de nous sans que nous n’ayons notre mot à dire.

J’entends et je regarde hébété le radiologue à l’issue d’une scintigraphie à destination des lombaires et des cervicales (vieux souvenir d’un accident):

 -vous avez connu des problèmes avec vos poumons ?

- non, jamais

-vous avez une tâche au lobe supérieur du poumon gauche…à explorer. Je le note dans mon compte-rendu

 

Les doutes commencent à m’interpeller. Bon, pas de panique, d’abord un contrôle spécifique. Mon médecin référent n’y croit, lui qui n’a jamais rien observé, et prescrit sans conviction une radio.

 

Ce qui apparaissait comme n’étant que de simples  doutes devient alors des suspicions au point de retourner au film X pour un scanner dans la foulée… et qui les confirment cette fois

 

Qu’à cela ne tienne, nous en saurons davantage à la biopsie lors de l’endoscopie du pneumologue. J’ai horreur des fibroscopies intrusives.

Le résultat rassure : une infection, certes, mais rien de malin. Toutefois un TEP-scan en médecine nucléaire est ordonné prescrit. Là encore, suspicions confirmées sans plus.

 

La conférence en RCP d’oncologie thoracique (Radiologue-Cancérologue-Pneumologue) donne alors ses conclusions :

- prise en charge chirurgicale : wedge (résection cunéiforme périphérique du poumon) + extemporané, suivi d’une lobectomie supérieure gauche (ne pas se tromper entre la droite et la gauche svp ; merci), et curage médiastinale si l’extemporané est en faveur (j’adore !)d’une origine maligne

 

Il est temps de mettre en place l’un des mécanismes de défense privilégié en pareille situation : le déni…conscient cependant !

 

Le rationnel qui se veut tantôt rassurant, tantôt vraiment réaliste, me conduit à penser qu’aux termes des statistiques un Français sur deux a ou aura un cancer. Pourquoi pas moi ? L’accident n’arrive pas qu’aux autres. Et rien ne prouve qu’il s’agit bien d’un cancer dans l’attente de l’extemporané. Et…etc…etc…

 

Le rendez-vous préopératoire avec le chirurgien est exemplaire au niveau des mots pour le dire :

-je n’ai jamais vu une image pareille. Pour moi, c’est un cancer à 95%. C’est une opération lourde. Il faudra que je coupe un morceau d’une de vos côtes, on est trop près du cœur, je préfère vous le dire avant que vous ne le découvriez en post-opératoire.

 

Oups ! Heu ... vous ne connaîtriez pas un chirurgien un peu plus cool svp ?

 

 

A suivre

 

Le Galérien

29 juin 2015

Amours virtuels (suite)

En réactions à mon dernier écrit…ou aux précédents ?...je lis beaucoup de détresse, d’amertume, puis de mélancolie faisant suite à la nostalgie, sur différents messages à la suite de séparation de couples. Il faut avoir vécu ces périodes de tristesse pour comprendre les sensibilités qui s’expriment sous des formes différentes d’émotions.

Michel Schneider, psychanalyste, nous rappelle qu’on ne quitte jamais personne en psychanalyse sous l'affirmation :Ni bien ensemble, ni séparément. Les rencontres et les séparations s’empilent sans véritable rupture psychique. Il cite Lacan à qui l’on prête la formule :Aimer c’est donner ce que l’on ne peut pas à quelqu’un qui n’en veut pas“. Certains ne peuvent être bien ni ensemble, ni séparément. Et s’ils n’arrivent pas à se quitter, c’est qu’ils ne se sont jamais rencontrés“

 

Lorsqu’on analyse les facteurs déclenchants d’un amour naissant (transfert ; projections ; carence affective imago…), on peut se poser la question de la relation virtuelle, et à plus fortiori de la virtualité des attachements d’un amour né sur le Net.

 

Bonne réflexion, et à vous lire,

 Le Galérien

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11 juin 2015

AMOURS VIRTUELS

Cela devenait inéluctable. Les échanges de messages à partir d’un blog se croisent et s’entrechoquent, disparaissent puis reviennent, se font de plus en plus intimes pour certains…Et puis un beau jour, c’est la déclaration !

Voila, on ne se connaît que par nos écrits, on s’envoie ou pas une photo, et c’est parti pour une  romance capable de vous rendre accro au point d’être en manque quand l’autre tarde à répondre.

Mais alors, c’est quoi l’amour virtuel ? Une histoire provisoire ou…. ?

Sur le site aufeminin.com, entre autres, on peut lire qu’il s’agit d’une “idéalisation renforcée comme toute rencontre amoureuse. L’amour virtuel renforce obligatoirement la nature irréelle de la relation et risque ainsi de maintenir les partenaires dans une idéalisation de l’autre. Ce risque se trouve renforcé par l’effet d’image de soi que chacun peut transformer à sa guise par une simple modification de son profil.

"L’amour virtuel peut également représenter une garantie pour tous ceux qui perçoivent l’amour comme un danger pour leur bien-être et leur liberté. Certains souffrent en effet d’une perturbation du lien à l’autre et peuvent craindre d’être blessés, manipulés ou influencés par un éventuel partenaire (la crainte d’être influencé, c'est-à-dire la peur d’intrusion est la seconde angoisse fondamentale du Moi ").

Un article dans le Monde apporte quelques réponses quantitatives. “Peut-on s'aimer sans se voir ? Ou du moins commencer à nourrir un sentiment amoureux ? Les Français le croient. Près d'une personne sur quatre a déjà été inscrite sur un site de rencontres et 40 % des gens seraient prêts à le faire s'ils se retrouvaient célibataires. C'est ce qui ressort d'un sondage IFOP réalisé en ligne auprès de 2005 personnes du 4 au 19 janvier pour Femme actuelle“.

Internet serait-il devenu un moyen de rencontre parmi d'autres ? En réalité, l'amour numérique ne répond pas aux mêmes règles que la rencontre dans une soirée ou au bureau, bref dans la vraie vie. Plus intense, il s'embrase vite avec les mots, mais le passage à la réalité peut être très décevant. "Il y a dans l'échange de mails amoureux une progression qui fait monter le désir, explique Pascal Couderc, psychanalyste et auteur d'un livre récent sur le sujet, L'Amour au coin de l'écran, (éd. Albin Michel). Petit à petit, l'échange se charge d'une intensité érotique, les mots agissent comme des caresses mutuelles, dans une complicité et une écoute parfaites."

Sans frein pour la ramener au réel, l'imagination s'emballe. "Tous les amoureux numériques qui se sont trompés sur leurs propres sentiments autant que sur ceux de l'autre sont tombés dans les mêmes pièges", explique le psychanalyste. Car la relation amoureuse qui commence par de l'écrit est avant tout fantasme et projections. "Elle est faite de rêves induits par les propos de l'interlocuteur, déduits de ses réponses, poursuit-il. Plus on a le désir d'aimer, plus on perçoit positivement l'image de l'autre."

Parce qu'on souffre d'un manque, on va s'imaginer que celui ou celle qui est de l'autre côté de l'écran est le ou la partenaire que nous attendions, au risque d'arriver à une construction montée de toutes pièces.

L'idéalisation, décrite par Stendhal, sous le terme de "cristallisation", est fortement majorée par Internet. "Sur un mot de l'autre, on peut broder un roman. L'objet du désir peut ainsi être investi d'attributs qui lui font tout à fait défaut", poursuit Pascal Couderc. Plus ou moins consciemment, on veut coller à l'image de l'autre : il aime tel peintre, on se précipite sur Internet pour le découvrir, il aime tel livre, on fonce l'acheter et faire un commentaire bien senti. On se découvre bientôt des points communs... imaginaires“.

 

Bon, on pourrait épiloguer longtemps et tourner autour du pot de frustrations gratuites en l’absence de la chute. Le plus intéressant n’est-il pas de tenter de vivre quelque chose de personnel au travers d’une histoire réelle ? Chaque lecteur ayant par ailleurs la possibilité d’effectuer les recherches sur le Net qui lui semblent éventuellement nécessaires.

 

Qu’en pensez-vous ? Avez-vous, êtes-vous en train de vivre ce type de roman numérique ?

 

A bientôt pour vivre cette aventure à vos risques et périls : “Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer l’image“.

 

Le Galérien

 

19 janvier 2015

LA TOLERANCE

La tolérance que nous réclamons pour nos libertés ne doit-elle pas commencer par nous-mêmes envers autrui ?

L'unité nationale est fragile. N'est-ce pas intenter à sa cohésion que de mettre dans l'embarras les musulmans qui condamnent avec nous le terrorisme et la barbarie des islamistes radicaux ?

Alors, bien évidemment,

-NON à l'assassinat des journalistes,

-OUI à la liberté d'expression,

mais tolérance et modération pour ne pas faire le jeu des terroristes en amenant la communauté musulmane à se révolter contre notre Pays démocratique libre de ses pensées et pour d'aucuns de ses croyances.

 

Le Galérien 

11 janvier 2015

LIBERTE

 Quand tu chantes je chante avec toi liberté
 Quand tu pleures je pleure aussi ta peine
 Quand tu trembles je prie pour toi liberté
 Dans la joie ou les larmes je t'aime
 Souviens-toi des jours de ta misère
 Mon pays tes bateaux étaient tes galères
 Quand tu chantes je chante avec toi liberté
 Et quand tu es absente j'espère
 Qui-es-tu? Religion ou bien réalité
 Une idée de révolutionnaire
 Moi je crois que tu es la seule vérité
 La noblesse de notre humanité
 Je comprends qu'on meure pour te défendre
 Que l'on passe sa vie à t'attendre
 Quand tu chantes je chante avec toi liberté
 Dans la joie ou les larmes je t'aime
 Les chansons de l'espoir ont ton nom et ta voix
 Le chemin de l'histoire nous conduira vers toi
 liberté, liberté
 

(Verdi / Arr. A. Goraguer / P. Delanoë / C. Lemesle)

9 janvier 2015

CHARLIE

Adieu CHARLIE, 

Bonjour CHARLIE

Tous unis, ne laissons ni la barbarie, ni les querelleurs politiciens, salir notre amour de liberté, de démocratie

Au sein de notre solidarité, la tolérance et l'acceptation de nos différences sont indispensables

 

Mesdames, Messieurs, les responsables politiques et de toute autre obédience, ne permettez pas aux assassins de notre République d'atteindre leurs objectifs au-delà de leurs crimes:

-la peur

-la haine

-la division

-l'intolérance

 

Un CHARLIE parmi tous les autres:

 Le Galérien

 

8 janvier 2015

DES CRAYONS CONTRE DES FUSILS

Sans journalistes, entre autres mais principalement, pas de démocratie.

La terreur survient lorsque la peur, objectif premier, s'installe

La précarité est le principal creuset du fanatisme barbare

Restons debout et solidaires malgré nos différences

Rejetons tout amalgame

 

Le Galérien

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